Une taupe...

Une taupe, un imposteur, un lâche s'est infiltré sur ce blog. Il sagit de mon père, égal à lui même, sa personnalité machiavélique plus aiguisée que jamais. Sous le pseudo d'Alex, il a tenté d'obtenir des informations, de me caresser dans le sens du poil tout en me dissuadant de poursuites contre mes parents car cela ne ramènera pas mon enfant.

Je m'adresse à toi maintenant. Dans ton dernier commentaire que j'ai désactivé, comprends bien que j'ai tout pouvoir sur ce blog, tu avoues que tu me trouves "pas mal dérangée". Saches que le mot est faible, je suis en effet "extrêmement dérangée" par la disparition de mon fils Florent. Tu dis que tu ne crois pas ce que j'écris et que tu plains ceux que j'appelle "mes géniteurs". Que tu ne me crois pas me fais doucement rigoler puisque tu es le premier concerné par mes accusations, quant à "mes géniteurs", tu fais bien de les plaindre, ils sont dans une situation dramatique et cela va encore durer...

Tu m'écris " Se servir de la perte d'un enfant, c'est ignoble, méprisable." Je ne commenterais pas dans cet article, ces quelques mots. C'est face à face que nous en reparlerons.

A compter de ce jour, je laisse en suspens la catégorie vous concernant. Vous êtes trop sales, trop puants pour ce blog. Je vais me consacrer à détailler mon enfance, puis mon adolescence...

Pour information, si vous imaginez que lors de mon dernier article écrit à Florent, sur lequel je lui parles des deux solutions qui s'offrent à moi, ne vous imaginez surtout pas que l'une d'elle serait de me tuer.

J'ai lançé une procédure en justice. Si elle aboutit et que j'obtiens ce que j'en attends, je serais satisfaite. Si je ne suis pas entendue, toi, mon père, je te tuerai de mes propres mains. Je te casserai le profil droit et te regarderai mourir en t'étouffant avec ton propre sang. Je te ferai subir ce que tu as fais à mon fils.

Pour ceux qui ne comprennent pas, je leur dit que l'amour peut rendre fou, que l'amour inhibe toute forme de raison et d'intelligence. Que l'amour me permettra d'assumer la gravité de cet acte et d'en payer le prix.

Ensuite, je pourrai de nouveau respirer et enfin me sentir libre.

A mes enfants, Anthony, Vincent et Clara je dis que j'aurais fais la même chose pour chacun d'entre d'eux.



14/08/2007
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