Appellons un chat, un chat...

Je me souviens des deux années d'apprentissage de Florent. Je me souviens à quel point, lui aussi, tu l'as descendu face à la Direction de l'entreprise. Mon fils, ton petit fils.

Tu n'as vécu que pour porter préjudice aux tiens, ascendants, descendants, nous avons tous subis ta skyzofrénie.

Aujourd'hui, j'ai envie de parler cru, de mettre de côtés, toutes formes de propos littéraires, propres et dignes. Tu ne les mérites pas. Appellons un chat, un chat. Tu nous à tous enculé. Tu aurais dû t'arrêter à ta descendance directe. Que tu aies enculé mon fils m'est insupportable. Je voudrais faire sauter ta cervelle daubée, découper tes petites couilles et te les faire bouffer.

Comme tu le dis chaque fois que tu dois justifier ton comportement, tu n'as commis que des erreurs dans ta vie.

Mais il n'y en a qu'une que tu vas payer et c'est moi qui vais en fixer le montant.  Je n'ai pas l'intention d'être généreuse....

 



23/09/2007
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 42 autres membres