Notre médaille d'or...

Pour bien comprendre les excès subis de commentaires dignes d'une Folcoche liquéfiée depuis le vendredi 7 décembre, je vais raconter le déroulement de la confrontation entre les assassins de Florent et moi à la gendarmerie du domicile de ces derniers.

Le samedi 08 septembre dernier aux environs de midi, les meurtriers ont demandé l'intervention chez eux de la Gendarmerie. Ils venaient d'être attaqués par une personne dérangée. Elle est entrée par effraction en cassant une fenêtre à l'aide d'un énorme parpin puis s'est introduite dans la maison "avec une force de cheval" (dixit : Folcoche), a cassé le mobilier, dérouillé Madame et tarté Monsieur. Ils prétendent s'être défendus avec "un appareil de défense éléctrisant" chacun. Visiblement, la forçenée s'en est bien moqué. Elle a frappé, emmiété, explosé tout ce qu'elle avait sous la main. Les meurtriers n'y ont pas échappé. C'est con ce qui leur ai arrivé !!

Petit souci, ils m'ont reconnue comme leur agresseur. Telle, l'exterminateur, du haut de mes 1m59 et forte de mes 50 kilos, j'ai fais tous ces dégâts à 11 heures du matin. J'ai été placée en garde à vue et répondu à ces accusations par la négative. A cette heure là, j'étais à la maison, Anthony venait de se lever, nous avons bu un café. Ce qu'il a bien évidemment confirmé, lui même auditionné. Le Procureur a demandé " une mise en présence ", bref, une confrontation. Quelle aubaine pour moi !!!

Vendredi 07 décembre, le grand jour est arrivé. Ils sont apparus, sans me jeter un regard, elle avait un gros dossier sous le bras, une gueule à vomir, des baskets pleine de boue. Nous nous sommes installés dans un bureau, très proches les uns des autres, une tension à couper au couteau. Les meurtriers trop sûrs d'eux, comme toujours, ont été plus que surpris de m'entendre sereinement nier ma présence chez eux, ce jour, à cette heure. D'où la folie furieuse de Madame qui a vomi ses éternelles insultes devant un témoin capital représentant tout de même les forces de l'ordre !

Toutefois, entre 08h30, heure à laquelle Clara est partie pour l'école et 11h00, heure à laquelle mon fils et moi étions ensemble, nous ne sommes que deux à savoir ce qui s'est passé. Flo et moi.

Alors, même si j'avais commis cet acte de violence extrême, ce dont je n'ai aucun souvenir, cela n'aurait été que le minimum syndical au regard de ce que vous méritez. Flo, mon bébé, crois tu que notre petit grain de folie aurait pû me pousser à faire cela ? Que j'ai suffisamment de cran pour prendre de tels risques ? Oui ??!!! Pour toi j'aurais pû le faire !! Peut-être...

Folcoche, à la gendarmerie on t'a bien dit : " Laissez votre fille en paix, ne lisez plus le blog, chacun chez soi !!" Deux jours plus tard, tu avais le culot de m'appeller, depuis tu t'immices dans mon blog. Je te laisse 48 heures pour baver, cracher. Passé ce délai, tous les commentaires qui se trouve dans la catégorie de Flo seront supprimés. Tu piges ou je viens te faire un dessin ?

Pour info, je montre ma tête de face, en colère...Fabrice, désolée dans l'immédiat, je n'ai pas mieux...

 



17/12/2007
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