Cette jeunesse qui m'entoure...

Florent, mon bébé, comme tu me manques...

Souvent il y a du monde à la maison. Anthony, Edwige, Michael, ils viennent manger, passer la soirée avec nous. Parfois, je m'isole un peu et je les entends parler, éclater de rire. Cela me fais sourire. Ce soir, c'est John, Julia, Michaël et Alexa qui sont venus. Après le repas, ils ont joué aux boules, aux raquettes (moi aussi d'ailleurs), Clara est au paradis entourée de tout son monde. Christophe était content, leur plaisir a être près de nous est flagrant, j'apprécie beaucoup moi aussi.

Mais Florent, toutes ces joies me laissent un arrière goût de cendres. Tu n'es jamais assis à mes côtés, tu ne ris pas avec nous, tu n'es pas là.

Qu'elle est pesante cette vie sans toi. Qu'elle est lourde cette putain de croix.

" Lacher prise, c'est accepter de s'ouvrir à ce qui vient, de changer son regard, de modifier son interprétation. C'est ausi parfois faire le deuil de quelqu'un à qui on tenait, c'est mettre son attention sur ce qui est, ici et maintenant."

Faire le deuil de toi, c'est faire le deuil de moi. Je suis à des années lumières de la sagesses de ces mots.

Ici et maintenant, sans toi, cela n'a aucun sens...

Je t'aime fort mon petit Ange...



06/07/2008
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