Une fin longue et douloureuse...

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'intuition que mes quelques jours d'abscence vous ont donné de l'espoir. Vous avez imaginé que je me calmais et baissais les bras pour enfin me résigner.

Vous êtes vraiment incorrigibles ! Comment pouvez vous penser une seule seconde que j'abandonnerais mon fils ? Attendez vous à un avenir oppressant et terrifiant, je vous poursuivrais jusqu'à mon dernier souffle.

Vous m'avez séquestré dans une souffrance inhumaine qui me consumme lentement, alors je vous emprisonne dans ma colère et ma rage de vous détruire. A chaque instant, je suis derrière vous, je vous guette, vous écoute. Je suis là, une faux dans la main prête à frapper lorsque je l'aurais décidé.

Folcoche, tu n'es qu'une petite vermine puante, un déchet de notre société, une femme à Fourniret...Tu tiens des propos sur mes enfants qui te vaudraient une grande tarte dans ta gueule, si Florent les entendaient.

Quant à toi, le poltron, tu es une merde de 100 kilos, tu n'as aucun organe, pas de coeur, de foie, de rate. Aucune goutte de sang, ni d'eau. Pas d'ossature non plus. Vraiment tu n'es qu'un énorme excrément...



12/08/2007
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