Ton abscence...
Ton abscence, si présente, si pesante. J'ai le coeur lourd, mal à l'âme, mal de toi. Je me souviens si bien des premiers jours d'avril 2005. Deux ans que tu as choisi le mauvais chemin, celui tracé par ceux qui prétendaient t'aimer. Ce chemin sans issue, celui qui t'a emporté ailleurs, je ne sais où, loin de moi...
Tu me manques mon fils.