Seconde plainte,
Folcoche,
Le 03 août, tu t'es de nouveau rendue à la gendarmerie. Cette fois, tu déposes plainte pour diffamation mensongère décrites sur mon blog. Tu déclares que je t'accuses d'avoir été complice des actes de ton mari, aussi bien concernant les coups, mais aussi les abus sexuels que j'ai subis. Que ces propos sont mensongers, que tu as toujours été une bonne mère et, ne travaillant pas, tu t'es consacrée à nous. J'ai beaucoup évolué dans la mesure où tes déclarations ne me mettent plus en colère. Elles m'ont fais sourire tristement, me prouvant encore une fois à quel point tu m'as bernée pendant tant d'années...Tu as encore porté plainte contre ton fils, pour avoir, dans l'un de mes articles, confirmé que mon blog n'était que vérité.
Tu as joins à ta plainte quelques articles de mon blog que tu as imprimé. L'un d'eux étant adressé à mon père, les gendarmes lui on demandé de se rendre au poste.
Le 07 août, c'est donc toi, mon père qui est allé déposer ta plainte. Le jour de ton anniversaire. Tu as commençé ton discours en signalant qu'ayant été opéré d'une tumeur (bénigne) au cerveau en 2001, tu as de gros troubles de mémoire, que tu ne te souviens pas des dates, pas même celle de la mort de mon fils ! Te souviens tu seulement de lui ??? Si ta santé est fragile, c'est ton corps qui est malade, pas ta tête. Ton mal est dû aux excès d'alcool, de nourriture et de tabac auxquels tu t'es livré pendant des années.
Tu as déclaré que je t'accusais de maltraitance, humiliations et abus sexuels durant mon enfance. D'avoir également exercé ta perversité envers ta petite soeur, ma tante. Tu as evidemment nié tout celà, ajoutant, que je délirais. Tu as demandé à ce que je ne sois pas condamnée, que tu souhaitais simplement que je cessse mes écris, que tout celà était très dommage attendu l'aide que vous pourriez m'apporter !!!
Tu t'es plains de devoir te rendre, avec ton épouse, en cachette au cimetière sous peine de représailles de ma part.
Tu as joint à ta plainte quelques articles de mon blog que tu as imprimé...
J'ai en premier lieu, fais remarquer au brigadier qui m'a reçu, une contradiction dans chacune de vos dépositions. Il l'a relevé avec beaucoup d'attention.
En effet, Folcoche à déclaré avoir connu l'existence de ce blog, le 05 avril, l'avoir visité ce jour là et ne plus y être retournée jusqu'au mois de juillet.
Ton mari, lui, a précisé avoir connu l'existence de ce blog, le 05 avril, l'avoir visité ce jour là et ne plus y être retourné jusqu'au mois de juillet. "Seule mon épouse a continuer de le lire chaque jour. "
- J'ai reconnu être l'auteur des articles que j'avaient sous les yeux et insisté sur le fait que je maintenais mes propos. J'ai également déclaré que les articles les plus graves, ceux dans lesquels je détaillent avec précison les violences physiques et sexuelles que j'ai subis ne se trouvaient pas joints à ces plaintes. Qu'en aucun cas, je ne cesserais d'écrire sur ce blog et que seule une reconnaissance par la justice, de la faute commise à l'encontre de mon fils me permettra de ne même plus penser à vous.
Dans tous ces mots, vous n'avez pas eu une parole pour Florent, si ce n'est pour revendiquer que mon enfant n'était décédé que d'un " simple" accident de la circulation.
- Vous vous rendez, chaque jour, un peu plus ridicules, coupables, odieux.
Quant à moi, j'ai de véritables raisons de vous emmener en justice et toutes les preuves écrites qui vont avec.
Alors, il ne me reste qu'a vous dire : " A bientôt..."