Passe le temps...

Passe le temps, passe l'avenir, ma mémoire est très fidèle. Ma mère, vieille pourriture, la fin approche pour moi comme pour toi. Personne sur cette terre ne m'empêchera de te rendre au centuple ce que tu m'as fais.

Passe le temps, passe l'avenir, pour moi, comme pour toi, la vie s'arrêtera bientôt. Lorsque tu t'y attendras le moins, lorsque je serai prête à partir avec mon fils. Toi, tu partiras de ton côté, celui des monstres, celui de l'enfer.

Je te hais, je te maudis, je te gerbe.

Vite, cliques droit sur cette article, imprime le et emmène le à la gendarmerie comme tu sais si bien le faire. Personne n'est en mesure de me juger. Je suis bien loin d'avoir atteinds votre niveau de délinquance à ton mari et toi.

Délinquant sexuel, voleur de vie, voleuse de tout. Manipulateurs, arrivistes et même racketteurs !! Je n'ai pas oublié lorsque j'étais enceinte de Flo, que vous m'avez sortie de ma chambre de bonne mi avril 1984, comme ça d'un coup, je n'avais pas compris. Je me disais " peut être que finalement, ils m'aiment un peu quand même..." A ce moment là, je n'ai pas fais le rapprochement avec les allocations de Parent Isolé que j'allais perçevoir à compter du 1er mai. A l'époque un peu moins de 3000 francs. Immédiatement, vous m'avez racketté 900 francs de " pension ". Je n'avais rien pour mon enfant, pas de logement et vous en avez bien profité !! Au même moment, vous refusiez à mon frère un peu d'aide finanière pour ses études, " faute de moyens ".

Pourtant, vous vous offriez sans vergogne des vélos, planches à voiles et autres accessoires de ce genre utiles à votre bien être et forme physique. Indispensables aussi à vos départs en vacances.

Alors, dis toi bien, vilaine saloperie, que c'est sans le moindre scrupules et même avec un certain plaisir macabre que je vais te dépecer...

 



01/03/2008
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