N'oublies pas...

Lorsque tu étais chez tes grands parents, je suis venue vous voir pour les convaincre de te laisser rentrer. Je t'ai dis :" Je t'aime, Florent, tel que tu es." Toi, tu pensais :" Tu m'aimes trop, tu t'inquiètes trop, tu m'étouffes."

Même après que tu m'aies abandonné, pas une seconde, je n'ai céssé de t'aimer.



04/04/2007
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