Mon pauvre Amour,

Mon ange,

Il y a quelques jours, je t'ai raconté brièvement un rêve qui m'avait oppréssée, mais je n'ai pas pû le développer, je n'étais pas à la maison.

En fait, une fois de plus j'étais chez mes parents, leur hurlant ma douleur, les foudres de ma vengeance qui seraient terrible, leur demandant encore et encore "Pourquoi ???." Ma voix s'étranglait, les mots ne sortaient plus. Dans mon esprit, tu étais mort, pourtant tu te trouvais à côté de nous, dans une pièce austère et sombre avec pour seul mobilier, une table et une chaise en bois. Tu étais assis, feuilletant un catalogue. tes cheveux étaient blonds comme lorsque tu étais enfant, mais ton visage était bien celui que j'ai vu pour la dernière fois, il y à deux ans. Tu n'avais pas de tee shirt et ton torse était envahit de petits boutons blancs. 

A un moment, j'ai ouvert la porte de ta pièce et je t'ai demandé : " Florent, que veux tu faire ? " Tu m'as répondu " Maman, emmènes moi avec toi."

Mon père a demandé à te ramener chez moi, j'ai refusé et nous sommes partis ensemble. Là, Folcoche, t'as donné un gateau et lorsque nous sommes éloignés, les yeux pleins de rage et la bouche baveuse elle à sifflé : "Il a qu'a se barrer, j'en ai rien à foutre, j'ai mis du sable dans son gâteau à la place de la farine."

Dans la voiture, tu m'as dis :" Maman, il faut que tu me commande des trucs, je n'ai plus rien." Quelle importance, nous nous étions retrouvés !!

Si seulement tu m'avais laissé te sortir de là.....



12/08/2007
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 42 autres membres