Josette FLOQUET GARCIA
La meilleure défense, c'est l'attaque et le meilleur refuge pour les coupables.
Toi, tu uses et abuses de cette stratégie à tel point que tu t'y perds.
Depuis la mort de mon enfant, j'ai eu droit à un traitement bien particulier de la part de mes géniteurs. Pour des personnes qui ont la conscience tranquille c'est assez troublant.
Josette FLOQUET, tu m'as frappé, puis insulté. Tu m'as accusé d'avoir maltraité mon fils, de l'avoir délaissé puis abandonné. Comme cela ne fonctionnait pas, tu as décrété qu'au travail, je le martyrisait et l'exploitait.
Puis j'ai eu droit au passage " putain ". Je suis la reine des putains. Soit. Toutefois, le premier homme a avoir mit sans vergogne sa main dans ma culotte, c'est bien François GARCIA, ton mari. Du coup, ça te calme.
Hier, après m'avoir traité de " merde " et de " putain ", tu t'es mise à m'accuser de malversation dans l'entreprise où je travaillais avec Christophe, la boite de ton mari et ses deux associés. Alors, tu sais quoi ? On va y aller, sortir les archives et nous n'y trouverons que les malversations de ton époux qui volait sa propre entreprise en percevant à la fois son salaire et ses indemnités journalières de maladie. Lorsque je le lui ai fais remarquer, j'ai eu droit à : " Tu fermes ta gueule !" Au moment du bilan, evidemment, il a fallu qu'il s'explique. Il a donc accusé sa Josette de ne jamais ouvrir les courrier de la banque sur laquelle ils faisaient virer cet argent. Au passage, nous sortirons de mon dossier toutes les demandes de prêt faîtes à l'entreprise en mon nom et destinées à François GARCIA, qui en tant que gérant n'avait pas accès à ces prêts.
Que vas tu encore inventer espèce de tarée ? Tiens, si tu veux, c'est moi qui ai cassé le vase de Soissons !!!
Josette, je suis un petit être humain. Tu as brisé les 20 premières années de ma vie, puis une fois que je m'étais construite tu as tué mon fils. Depuis, j'ai encaissé toutes tes saloperies.
Mais aujourd'hui, ça y est, tu as franchi la ligne blanche...