Catherine, Marilyne,
Vos commentaires de soutien et d'encouragement me vont droit au cerveau, dans la case "Folcoche". Cela pue le plagiat, les discours accusateurs, la connerie...
"Tournez la page, ne vous accrochez plus, passez à autre chose..." Avez vous donc perdu la tête ? Pensez vous que je sois capable de ranger mon fils dans une malle à souvenirs ? Et peut être l'ouvrirais je de temps en temps en passant devant ? "Lachez prise..." Désolée, connais pas. C'est une expression qui m'est inconnue. Elle ne fait pas partie de mon vocabulaire...
Vous êtes bien les "amis" de Folcoche, ceux qu'elle à rencontré dans cette communauté évangéliste où elle compte acheter son pardon. Alors, Mesdames, cessez de nous importuner avec vos discours moralistes dont vous ne comprenez pas vous même le sens. ( Vous lire est un véritable excercice de compréhension tant les fautes en tout genre y sont exceptionnelles !!! Je crois que pour le QI de l'escargot, c'est pas gagné !)
Folcoche, crois tu pouvoir déstabiliser Anthony, mon fils, mon prince ? Penses tu par l'intermédiaire de ces messages l'amener à se poser la moindre question sur moi ? Décidément tu ne comprends rien. Tu m'as volé un fils, ne t'approche pas de mes enfants, tu leur a volé leur frère.
Je rie sous cape...Cet entretien, la semaine dernière à la gendarmerie t'a mise à terre. Qui d'autre que toi a pû évoquer ma "froideur", celle dont j'ai fais preuve face à vous ce jour là. Je me rends compte, un peu plus chaque jour, que je vous ai écrasé comme deux vulgaires cafards...
Je vous entends encore craquer sous mon talon...