Alors, papa ?

Que se passe t'il ? Je t'ai attendu, tu n'es pas venu. N'as tu pas trouvé tes couilles ? Sont t'elles trop petites pour être prises à deux mains ? Je t'accuses de maltraitance, d'attouchements sexuels, de meurtre et tu ne bouges pas ? Tu prétends que je mens, mais tu ne veux pas m'affronter. Qui crois tu tromper ? Connais tu une seule personne sur cette terre, qui, innocente, ne réagirais pas à ces accusations ? Seuls les coupables se cachent. Les laches comme toi, les hommes indignes, les pervers.

La vraie faute est celle que l'on ne corrige pas. Je t'ai pourtant donné des années pour réparer les dégats que tu as commis. Tu n'as pas pris ma main tendue, désormais mon poing est fermé.

La vérité est en route et rien ne l'arrêtera. Comme un rouleau compresseur elle écrasera tout sur son passage. Alors à ceux qui se mettrons entre la justice et moi, ceux qui tenterons de démentir mes propos, les deux ou trois personnes qui te soutiennent, je leur dis ATTENTION ! je ne ferais pas de cadeaux.

Que personne ne cherche à priver mon fils du respect qu'il mérite.



20/07/2007
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 42 autres membres